DANS LA SUITE DE LA LETTRE OUVERTE PRÉPARÉE PAR LE COLLECTIF ANTI-LINKY 44, NOUS AVONS FAIT SUIVRE LADITE LETTRE À NOS QUATRE DÉPUTÉ.E.S DE DORDOGNE :
Mme Pascale MARTIN, députée LIF, 1e circonscription,
Mr Serge MULLER, député RN, 2e circonscription,
Mr Jean-Pierre CUBERTAFON, Député MODEM, 3e circonscription, et
Mr Sébastien PEYTAVIE, Député ECO, 4e circonscription.
VOICI NOTRE TEXTE ACCOMPAGNANT LA LETTRE OUVERTE :
Bonjour M. le Député, Mme la Députée,
Le « scandale Linky », mot facile que nous avons évité de prononcer (même si...), réside :
- dans le non-respect des droits fondamentaux par Enedis assorti de violences diverses, exactions nombreuses, « non-vérités » écrites ou entendues, chantage (mot prononcé) que nous avons pu constater partout. (À ce titre, l’idée d’un recensement des nuisances commises par Enedis et ses sbires - pourquoi pas transmise à Claire Hédon, une dame très bien - est intéressante.)
- Enfin, la Représentation nationale (affaiblie), qui fait la Loi, doit s’interroger sur le refus français, bien plus virulent chez nous qu’ailleurs en Europe. Sait-elle que nous avons le pire compteur : le + nocif, coûteux, intrusif, le plus violemment imposé, en plus d’être obsolescent en totale contradiction avec la Loi de référence ? Et que Capgemini a totalement bidonné l’analyse coût/bénéfices ? Réponse : non, ou pas tout. Veuillez trouver ci-joint la lettre commune de plus de soixante collectifs citoyens anti-Linky dont nous sommes signataires, le Collectif anti-Compteurs Communicants 24, pour votre attention et suivi.
Notre demande de sortie du marché, notre attaque du néo-libéralisme destructeur de nos services publics, comme la nécessité d’un piéton vérificateur de l’installation (emploi + sécurité).
Nous pensons être constructif dans ce procès politique. Avec notre demande d’abandon du CPL, nous proposons des solutions et une liberté de choix qui ne dérange pas le voisin.
On a jamais autant brandi la notion « d’intérêt général » que sous le régime des privatisations de gauche comme de droite. Et beaucoup le regrettent pour l’électricité. On commence à l’entendre à haute voix. Il est donc normal que nous réclamions le retour au bien commun, « républicain » et que « nous » soyons consultés plus directement pour tout projet de changement sociétal majeur (C’était l’un des sujets des Rencontres).
Avec tout notre respect,
Daniel MATHIEU, Daniel COUTANT, Mickaëlla MOREAU,
Collectif CCC24
NOUS PUBLIERONS ICI LEUR RÉPONSE, S'IL Y A LIEU.